Mon expérience aux Nations Unies à Vienne : entre musique, intelligence artificielle et humanité

Mon expérience aux Nations Unies à Vienne

l’intelligence artificielle, de l’éthique, de l’éducation et de la coopération internationale.

En juillet 2025, j’ai eu l’opportunité unique de participer à une série de conférences aux Nations Unies à Vienne, au croisement de l’intelligence artificielle, de l’éthique, de l’éducation et de la coopération internationale. Pendant trois jours, chercheurs, entrepreneurs, artistes, diplomates et jeunes leaders venus du monde entier se sont réunis autour d’un objectif commun : penser un futur technologique au service de l’humain.

L’intelligence artificielle et l’éthique : un débat essentiel

L’intelligence artificielle et l’éthique : un débat essentiel

À travers des panels et échanges passionnants, les discussions ont porté sur le rôle de l’IA dans les secteurs clés comme l’éducation, la santé, la finance et la gouvernance. Des intervenants venus d’Afrique, d’Europe, d’Inde ou encore d’Amérique ont partagé leurs visions. Ce moment m’a conforté dans mon engagement à construire des ponts entre l’innovation technologique et les valeurs humaines.

Musique, art et spiritualité : une autre forme de diplomatie

Ce qui m’a profondément marqué, ce sont les moments artistiques et spirituels vécus en parallèle des conférences.
Le premier soir, dans une église de Vienne, des enfants jouaient du Bach et du Mozart avec une pureté désarmante. Le lendemain, une expérience immersive lumière-son dans une autre église a déclenché en moi un sentiment de transcendance. Enfin, le dernier jour, un concert de violon en plein cœur d’une conférence sur l’IA a symbolisé cette fusion entre art et technologie que je défends depuis des années.

Voilà pourquoi je fais partie des 100 leaders visionnaires du monde

Ce titre, je ne le prends pas comme une récompense, mais comme une responsabilité.
Être reconnu parmi les 100 leaders visionnaires du monde, c’est incarner une vision qui dépasse les tendances : une vision globale, transversale, humaine et engagée.
C’est oser faire dialoguer des univers que tout oppose : l’art et la science, la spiritualité et la technologie, la tradition et l’innovation.
C’est représenter une jeunesse qui pense autrement, une Afrique connectée au monde, une intelligence artificielle qui n’oublie pas l’âme.
C’est porter une parole qui rassemble au lieu de diviser — une parole qui crée du sens, pas seulement du bruit.

Une œuvre musicale inspirée par l’ONU : Vienna Resonance

De cette expérience est née une création : « Vienna Resonance », un morceau musical que j’ai composé pour traduire ce voyage intérieur et universel. Cette œuvre unit sons électroniques, harmonies classiques, textures cinématographiques et paroles poétiques, pour faire ressentir ce que j’ai vécu : l’éveil d’un nouveau monde, où l’humain reste au centre de la technologie.

Un message pour l’avenir

Participer à cet événement à Vienne m’a confirmé une chose :

L’avenir appartient à ceux qui savent réunir technologie, art et conscience humaine.

Je continuerai à défendre cette vision à travers mes projets, ma musique, mon travail dans l’IA et mon engagement pour la jeunesse.

Car au fond, l’innovation n’a de sens que si elle élève, si elle éclaire les zones d’ombre, si elle reconnecte les peuples au lieu de les séparer.
Mon rôle est d’être un passeur, entre générations, disciplines, continents. Un traducteur d’énergies et d’idées.

Et si je suis aujourd’hui considéré comme un leader visionnaire, c’est parce que je crois que la vraie modernité, c’est l’humanité augmentée, pas remplacée.

C’est aussi pourquoi je m’implique auprès des jeunes talents à travers le monde — en Afrique, en Europe, en Asie — pour transmettre une vision élargie du futur.
Pas celle dictée uniquement par les algorithmes ou les marchés, mais celle construite par des valeurs, de l’audace et de la conscience.

Chaque rencontre, chaque conférence, chaque note de musique est pour moi une brique de ce pont entre les mondes.
Et si demain l’IA devient réellement utile à l’humanité, ce sera parce que des femmes et des hommes auront gardé le sens du vivant au cœur du progrès.

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